Dieu que la vie est cruelle
Au musicien des ruelles
Son copain, son compagnon
C'est l'accordéon
Qui c'est-y qui l'aide à vivre
A s'asseoir quand il s'enivre
C'est-y vous, c'est moi, mais non
C'est l'accordéon
Mais que fais-je sur terre
A part restreindre ta lumière
Au rayon fou blessé d'un accordéon mort
Je glisse sur ton rire
Attendant de frémir
Des décors qui s'accordent à l'ombre de nos corps
Puis je rentre pantois
Au fond de mon chez moi
Égrenant les silences qui pansent les absences
L'accordéon s'égare
Au coin de mon regard
Glisse l'instant qui passe et la nuit qui me glace
(roro)
Commentaires
Bonjour Ange,
je n'ai pas put te laisser de commentaire sur ton article suivant que je trouve très beau.
Amour quand tu nous tiens ...
Je te souhaite un agréable weekend du 14 juillet et une bonne semaine à venir, je serais absente car je part chez ma maman qui vas de nouveau se faire opérer de son oeil gauche, je rentre dés que tout ira bien.
A très bientôt.
amitié du amie qui ne viens pas souvent mais ne t'oublie pas.
Nanou